Encore des fleurs artificielles ! Cela pue le plastique. Ce genre de plastique qui pollue les cimetières et que les gens ne jettent jamais, on ne sait jamais, mais qui sont deviennent sinistres de saleté, de pollution, un symbole de la décrépitude de notre société de consommation.
Et tout cela alimente les océans, car les différents éléments qui constituent les fleurs finissent par se séparer, sans se décomposer, se retrouvent emportés par les vents, le ruissellement et finissent, intacts, dans les océans, puis dans les estomacs de ces pauvres animaux marins, qui en crèvent.
Et puis il y a trop d'objets, tous mal placés, comme la topiaire, apparemment aussi artificielle.